"les autres", gouffre ou appui ?
"Ce qui n'est pas soi" (ou perçu comme tel)... à quoi cela nous sert-il ? Est-ce là pour nous accabler, nous enfoncer, nous nier ? Ou cela joue-t-il le rôle de miroir, de temporisation, de terreau, de tuteur ? Déformation, écrasement, annihilation ? ou nourriture, dynamique, modération ? Haine, bêtise, ignorance ? ou jeu, lien, amour ? Un seul mot : le "créateur" de la relation avec l'autre, c'est avant tout nous-même. J'organise ma verticalité : mon autonomie, mon ancrage, ma force de créativité / de proposition—avec inventivité et identité pour moi-même. A quoi, à quelles valeurs, je m'identifie dans l'absolu ? J'organise mon ouverture : comment je décide de "percevoir" ce qui m'arrive sans le subir ; comment je positionne mon jugement afin que celui-ci soit juste, équilibré, équanime ; puis comment consciemment , je projette mon retour intentionnel et mon action, afin que mes comportements n'aient pas à ...