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tension - butoir

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Avec l'autre, cela ne va jamais "comme on veut", "comme on peut", "comme on sent", "comme on voit". L'autre se détermine en fonction de ses terrains, et s'achemine selon ses orientations : ce qu'il ambitionne de "dire" dans la vie. L'autre esquive, échappe, s'en va... parce qu'il ne retrouve ses équilibres qu'en lâchant les nôtres... et ainsi de suite.  L'autre est un "monde", une "création" en soi. Une stabilité et un vertige en lui-même. L'autre vient à nous ou se retire ; l'autre pour nous est un évènement aléatoire qu'on subit, ou à partir duquel on s'approfondit et on rebondit. L'autre manifeste des limites—qui, si on les franchit, nous ramènent bien vite chez nous ! Pas de mélange avec l'insupporté—présumé "insupportable". "Huis clos" - Jean-Paul Sartre. L'enfer, c'est les autres. A une condition : qu'on ait soi-même d

"avoir mal", est-ce un bien ?

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Une nouvelle question—à l'origine d'un nouvel épanchement de mots. En pleine nuit. Un geste chaque fois un peu "sorcier"... en prise avec le seul réel. Dans une totale réceptivité à "ce qui est". Un texte un peu comme un terrain de jeu entre différentes instances que nous retrouvons désormais régulièrement. Celles du livre "Huma". Des notions à parcourir, tout ou partie, dans son glossaire en-ligne.   Qu'est-ce qu'"avoir mal" ? C'est ne pas être en accord avec la Nature profonde—soit d'un point de vue endogène (on se fait mal), soit depuis un litige exogène (on nous fait mal). Le mal se traduit par un déséquilibre émotionnel qui est le meilleur de nos alliés. Cette boussole est en effet à même de nous informer et de nous alerter sur notre décentrage, notre déplacement ou déphasage... d'avec notre noyau. Le noyau, c'est le coeur du complexe matériel/immatériel que nous sommes. C'est le lieu de l'alignement